retour sanglant

Merde...ça fait chié!
Je m'assis à ses côtés et pris sa main dans la mienne, caressant son front de l'autre.
Je cherchais à l'apaiser, tentant d'entrer en contact avec sa psyché le plus délicatement du monde. je commençais par les sentiments, les émotions brutes que j'adoucissais par des bribes de souvenirs joyeux...Une première heure passa ainsi...J'étais totalement pris par mon travail sur sa santé mentale, l'amenant sur les chemins du retours, le gout de la vie...le sourire...
J'essayais ensuite d'éveiller ses sens,
le toucher de mes mains...l'ouie...l'odorat...cherchant son parfum préféré dans ses souvenirs, j'en fit naitre l'odeur grâce à une illusion olfactive...le temps passait...Je sentais son pou au fin fond de mon corps...Je réveillais ses sens un à un...doucement, lentement...J'en appelais ensuite à ses souvenirs, à sa mémoire d'enfant, la joie de vivre...je remontais le cours de sa vie segment par segment...la fatigue s'abattait lourdement sur moi, mais je luttais...Je luttais pour qu'elle est envie de savoir, de sentir... et d'aimer un jour...la nuit passa, je n'avais plus conscience ni de Gérard, ni des médecins, seul le "bip,bip,bip" parvenait encore à mes oreilles...

Tu te réveilles au petit matin, le visage contre le drap du lit.
La lumière pastel du ciel pâlissant traverse la fenêtre et baigne la pièce d'une atmosphère douce.
Quelqu'un t'a posé une couverture sur le dos.
Lorsque tu te redresse, tu constate que Sionna a toujours les yeux clos et le visage blafard. La machine bip-bipe toujours.

"Les médecins disent qu'elle devrait se remettre." annonce une voix dans ton dos.

Lorsque tu te retourne, tu constate qu'il s'agit de Mimi. Elle a changé de vêtements pour une jupe ample et un large chandail. Elle porte un plateau avec des croissants et du café fumant.

"Vous avez passé toute la nuit ici." dit-elle en posant le plateau sur la table de nuit et en te servant une tasse de café.

"Moi j'ai discuté avec Gérard, jusque très tard dans la nuit.
Il m'a tout expliqué, Ambre, les Ombres, les atouts, la Marelle... c'est très déstabilisant. Je n'y aurais jamais cru si je n'avais pas eu toutes les preuves sous les yeux : notre téléportation par atout, ce palais, et puis cette ville que l'on voit pas la fenêtre."

Elle caresse les cheveux de Sionna.

"Elle lui ressemble tellement... Ca n'a pas du vous sauter aux yeux, vous n'avez vu John, enfin Nurvain, qu'un bref moment. Mais moi j'ai vécu avec.

Elle a risqué sa vie pour moi, alors qu'elle ne me connaissait même pas.
Et c'est encore une enfant...
A la voir comme ça, on l'imagine mal se battre.
Pourtant Gérard m'a dit que les membre de votre famille étaient des combattants nés... même elle, malgré son très jeune âge.

Vous êtes une étrange famille... vous semblez capable du pire comme du meilleur." dit-elle, pensive.

C'est vous qui m'avez mise cette couverture? Mmmmf enfin peu importe.
J'étais étonné d'un tel geste, ici à Ambre.
Merci pour le café Mimi! Et pourtant vous l'auriez vue lacher une rafale, pile dans les genoux d'un de ses ennemis, et tout ça en plein mouvement! Oui nous sommes capables du pire comme du meilleur…c’est tout à fait ça

*jusqu’ici tout se déroulait comme prévu, j’avais réussi à éviter le sujet de l’atout et du but réel de ma mission avec Gérard, j’avais sauté sur l’occasion qui m’était offerte de rester sur le terrain passionnel avec l’oncle. Mes efforts pour aider Sionna avaient peut être servis à quelque chose pour elle, en tout cas je l’espérais… mais cela m’avait surtout permis de lire dans ses souvenirs en me faisant passer pour un bon samaritain…j’avais fait d’une pierre trois coups !digne de Mama… !Peut être que Gérard n'était pas dupe...mais j'avais sauvegardé les apparences!*

Tout en buvant mon café, avec l’air de celui qui est encore au pays du sommeil, je fit le point sur ce que je savais d’elle :
Ses liens avec Bénedict,avec Avalon, ce qu’elle savait de l’atout, de l'enquête de Nurvain, de Lice…

Tu sais effectivement tout de sa vie désormais...à part bien sûr les choses qu'elle ignore.

Nurvain et elle ont passé les premières années de leur vie dans une famille ambrienne de moyenne noblesse.
Mais une rumeur déplaisante courait : Nurvain serait en fait le bâtard d'un prince d'Ambre avec lequel sa mère aurait cocufié son époux à de nombreuses reprises.
Toute la famille se déchirait autour de cette rumeur, et le premier à en pâtir était bien évidement Nurvain lui même.

Lorsqu'il eu quinze ans, il voulu en avoir le coeur net, et se rendit en secret à la Marelle de Tir na Nog'th...où il passa la Marelle.

Son père adoptif le découvrit et entra dans une rage noire.
Les choses tournèrent très mal : le mari assassina l'épouse volage...il tenta ensuite de tuer Nurvain, mais ce dernier se défendit et le tua.

Désormais coiffé de la double casquette de prince d'Ambre et d'assassin, le jeune garçon ne savait trop que faire.
Après mûre reflexion, il prit avec lui sa petite soeur Sienna, âgée d'un an à l'époque, et se rendit au Palais, à la rencontre de sa véritable famille.

C'est Bénédict qu'il croisa le premier, dans le hall d'entrée. Et c'est sans doute cela qui leur sauva la mise.

Bénédict jugea que Nurvain était bien trop jeune pour résider au Palais, au milieu des complots et des inimitiés.
Il le emmena donc tous deux en Avalon.
Là, Nurvain apprit tout ce qu'un prince d'Ambre doit savoir.
Il resta quelque années.
Lorsque Sienna eu 5 ans, Nurvain décida d'aller mener sa vie à travers les Ombres.
Il s'installa sur Ombre Terre, en Hollande, et tous deux vécurent quelques années paisibles, faisant de temps en temps de brefs séjours chez Bénédict (c'est à cette occasion que Gérard rencontra Sienna).
Plus la petite fille grandissait, et plus Bénédict la soupçonnait d'être, elle aussi, de lignée ambrienne. Elle avait une prédisposition pour utiliser les atouts et était d'une force et d'une vitalité peu commune.
Par contre, Nurvain et sa soeur ne surent jamais qui était leur véritable père. Si Bénédict avait le moindre soupçon à ce sujet, il se refusa toujours à le préciser.

Mais au bout d'un moment, Nurvain décida qu'il était suffisement expérimenté et aguerri pour aller se frotter au reste de la famille.
Il laissa donc Sienna (alors âgée de treize ans) dans un collège privé avec internat, et prit la route d'Ambre.

Là bas, il rencontra Fiona, qui vit là une belle opportunité de main d'oeuvre pour ses manigances.
Elle lui monta la tête, moitié séduisante, moitié très persuasive, comme elle sait si bien le faire...et c'est ainsi qu'il se retrouva à faire la chasse à l'atout.

Il passa pour ce faire cinq années à voyager en Ombre, tout en faisant de Québec (et de Mimi) son port d'attache...et en faisant de fréquentes visites à sa soeur (dont il avait caché l'existence à Fiona). Il la tenait régulièrement au courant de ce qu'il faisait.

Lorsqu'il eu trouvé l'atout, il se mit en route immédiatement pour Ambre.
En chemin, il contacta sa soeur pour lui dire qu'une tueuse métamorphe nommée Lice le pourchassait et qu'il était en danger de mort (Comment l'a t-il su ? Mystère. Sienna n'en a aucune idée.

Ce que tu ne savais pas, c'est que durant toute votre conversation au Darou, Nurvain était en contact d'atout avec Sienna, qui voyait et entendait tout.
Elle perdit le contact lorsqu'il sombra dans l'inconscience, mais le retrouva lorsqu'il se réveilla, quelques instants avant de mourir.
Ses dernières paroles (le prénom "Emilie" et "la Métamorphose") que tu croyais t'être destinées, étaient en réalité pour Sienna, pour qu'elle retrouve la lettre dans le livre et protège Mimi.

La jeune fille, ivre de chagrin et de colère, prit le premier avion pour Québec. Là elle s'arma en guns de toutes sortes (depuis sa plus tendre enfance, elle était une passionnée d'armes à feu...elle était même championne du monde junior de biathlon).
Elle se glissa discrètement chez Mimi et lu la lettre, qu'elle remit ensuite à sa place.
Elle décida ensuite de ne pas quitter Mimi d'une semelle, certaine que Lice ne tarderait pas à pointer le bout de son nez.

Lorsqu'elle vit ton illusion de toi en tenue ambrienne apparaissant dans le hall, elle était persuadée qu'il s'agissait de la métamorphe, et tira en toute bonne foi.

Au final, tu as devant toi une jeune fille de tout juste 18 ans, n'ayant jamais passé la Marelle...mais ambrienne dans la moindre de ses fibres.

Aaah excellent ce café Emilie!
Alors que comptez vous faire ? Nous pourrions peut être vous trouver une bonne auberge ou une petite maison dans la citée, a moins bien sur que vous n’ayez d’autres projets…

Je me rendis compte de ma tenue, sales, déchirée, sanglante…je sonnai un serviteur !

Mon ami, si vous vouliez bien m’emmener dans une pièce ou je puisse me doucher, vous m’y ferrez porter quelques vêtements, une chemise blanche, un pantalon noir, des bottes de cavalier et une paire de gants.

Venez Emilie vous me direz quels sont vos projets.
la suite ici

Lorsque vous arrivez dans la chambre réservée à Sienna, vous constatez qu'elle n'est plus sous respirateur.

Elle est encore pâle et ses yeux sont cernés de fatigue, mais elle paraît paisible.
Elle ouvre les yeux doucement à votre arrivée.

Bonjour Sienna.
Je voyais l'émotion s'écrire dans le regard du Gros Gérard.

Alors vous voilà de retours parmi nous!!
j'en connais un qui m'aurait mis dans le même état si vous n'étiez pas avec nous aujourd'hui!

Vous êtes au palais d'Ambre, Mimi est saine et sauve!

Elle parle d'une voix assez faible.

"Vous saurez maintenant... qu'il faut laisser les armes à feu aux professionnels." dit-elle avec une moue mi sourire mi grimace.

Son regard se porte derrière toi, en direction de Gérard.

"Oh !
Vous... Gérard...
Mince alors, ça fait quoi ? Dix ans ?
Vous vous rappellez de moi ?"

"Bien sûr !" répond l'intéressé, visiblement ému.

"La dernière fois c'était vous qui étiez dans un lit et moi qui vous faisais des visites." fait remarquer Sienna, souriante.

Sienna affiche un sourire triomphal.

"Je suis heureuse... j'ai réussi... j'ai vengé mon frère."

Puis son sourire s'efface.
Elle vient de se rendre compte que ce qui la tenait debout depuis quelques jours, cette colère qui l'habitait, n'a plus de raison d'être.
Elle se retrouve soudain vide.
Des larmes perlent à ses yeux, et coulent le long de ses joues.

"Je n'avais pas réfléchi... à ce qui allait se passer ensuite.
Maintenant, je suis toute seule.
Qu'est ce que je vais faire ?"

En tout cas ne comptez pas sur moi pour vous emmenez en ballade dans le multivers...à moins que Gérard ne donne son accord de principe!

j'aiguisais sa curiosité et mettais Gerard face à ses responsabilités.

Alors que ce petit monde discutait, laporte s'ouvrit et entra alors un personage assez étrange. Un homme aux cheveux argentés en queue de cheval. Il portait une robe éclésiastique noire ainsi qu'une paire de lunette qui appartiendrait à un érudit. L'élément le plus remarquable à cet instant précis était qu'il avait une main en sang et l'autre la tenant. Il se marmonait à lui meme:

Ah enfin trouvé, pas facile à s'orienter dans ce chateau....

Et il remarqua seulement ensuite qu'il y'avait déjà du monde dans la salle. Gérard, un de ses oncles et deux inconnus, un homme et une jeune femme.

Ah euh bonne journée à vous.... Pourriez vous me dire ou je peux trouver les bandages ? J'ai eu un petit accident..

Bonne journée merci! Mmm Cinquième à gauche, vous prenez l'escalier en colimaçon, descendez deux étages là vous verrez un grand couloir assez éclairé ... l'infirmerie est dans le secteur.

Qui est-ce?
Demandais-je à Gerard!

"Oh, bonjour Nero." répond Gérard avec un sourire engageant.

A l'intention de Valentino et Sienna :

"Je vous présente Nero. Nero, Valentino, fils de Fiona, et Sienna.

Nero est le digne fils de ma soeur Deirdre, aussi charmant et bien intentionné qu'elle.
Il vit au château depuis peu de temps... trop peu de temps je le constate, puisqu'il s'y perd encore." ajoute t-il avec un petit sourire.

"Enchantée." dit Sienna.
La jeune fille a séché ses larmes rapidement du revers de sa chemise lors de l'entrée du jeune homme aux cheveux argentés. Elle semble ravie
de cette occasion de détourner la conversation.

"Dites... ce n'est peut être pas la peine que vous fassiez tant de chemin pour soigner votre main. Vous pouvez très bien le faire ici : il y a des bandages de rechange et tout ce qu'il faut pour désinfecter dans ma table de nuit." propose t-elle un peu timidement.

"Oui, renchérit Gérard, n'allez pas déranger un médecin pour un petit bobo comme ça.
Je vais m'en charger."

Nero sourit timidement à son oncle et les deux autres individus.

Merci beaucoup, je cherchait juste les bandage. Je suis formé dans le secourisme et la médecine basique donc je peux me soigner moi meme.


Il prit un bandage et le déroula sur la table. Il prit aussi du coton et commenca à nettoyer la blessure. Tout en nettoyant il entamma la conversation:

Un plaisir de faire vos connaissances. Je vous serrais bien la main mais... C'est assez embarassant....

Plusieurs minutes auparavant à la cuisine:

Faim faim faim faim faim...

Il explorait les cuisines à la recherche d'un petit encas pour satisfaire son appétit. Ce n'était pas l'heure des repas donc il préferrait ne déranger personne pour ca. Il prit un morceau de pain et commenca à se couper un morceau.
Apres s'etre fait un sandwich il posa fierement et planta le couteau dans la table. Ou du moins c'est ce qu'il crut pendant un tres court instant. Une douleur vive à sa main gauche lui indiqua autrement.

Retour au présent.

M'apprendra à faire attention.

Il enroula le bandage autour de sa main pour bloquer le saignement pour de bon.

C'est bloqué maintenant. A force que ca m'arrive, j'ai finis par apprendre comment faire correctement. C'est la vie. Sinon comment vous etes arrivés ici vous ?

"Et bien..."commence Sienna "...c'est un peu compliqué. J'ai toujours vécu sur Ombre Terre. Mon frère a été tué...et je l'ai vengé.
Mais je ne m'en suis pas tiré indemne...et le gentleman que voilà (désignant Valentino avec un sourire charmant) m'a ramené ici... où j'ai eu le plaisir de retrouver Gérard, qui est, disons... une vieille connaissance"

Bien mes amis quand à moi je m'en vais retourner à la poursuite de l'inconnu!
Vous m'excuserez mais cette histoire m'obsède, j'ai hâte d'en savoir plus!

Je commandais à un serviteur de me rapporter, un bon fromage sec, une miche de pain, une gourde de bon vin et un peu de jambon fumé.

J'étalais devant moi trois des quatre atouts de Lice...
1-Une maison luxueuse qui semble entourée de forêt.
2-un rivage marin
3-une boutique, dont l'enseigne porte des inscriptions dans une langue étrange, mais qui a tout l'air d'être une boutique d'armes.

Mmm par ou commencer?
le second... ça sent le piège ça!
Il me restait la maison et la boutique...
Dites moi l'un d'entre vous (je m'adressais à Sienna et à Nero)peut il savoir si ces atouts sont piégés?

Nero fut tres étonné par le contenu du troisime atout. Il connaissait cet endroit. Il le connaissait de l'époque ou il était encore.... Il dissimula du mieux qu'il pouvait sa surprise.

Tiens, je les ai pas celles là.

Il se trouvait face à la question de si il devait dire à Valentino à quoi correspondait cet endroit. Lui en parler risquait de déterrer un peu trop de vieux cadavres à son gout. D'un autre coté, pourquois un tel atout existait de toute facon ? Les connaissances qu'il avait recue sur le sujet laissaient penser que les gens avait un set standard et éventuellement d'autres éléments qui leur était désirable d'avoir pour une raison ou une autre.

Mais le dernier endroit, je connais pas le lieu spécifique, mais la langue, je la connais. Ca viens de chez moi. Je suis curieux quant à la raison pour laquelle vous avez un tel atout.

Alors Valentino voulait en savoir sur l'ombre dont il venait. Pourquois pas, il pouvait en parler sans se compromettre.

Par ou commencer... Bon il s'agit d'un monde assez peuplé, 7 milliards d'habitants environ, il bénéficie d'un niveau technologique assez conséquent. D'un coté quelle norme peut on utiliser pour définir le niveau technologique Pour vous donner on a des réseaux électriques, des armes à feu, des grandes métropoles, des rails intercontientaux..

Ca c'était le premier aspect de son monde, mainteant venait la suite....

La magie y existe aussi. Par contre elle n'est pas vraiment appréciée par les locaux. Quelques mauvaises expériences avec des sorciers dont la morale reste à dévelloper et certains qui ont du mal à controller leur habilités, vous comprenez. Donc si vous avez de ces capacités je vous recomande vivement de ne pas les montrer. J'ai entendu de ces histoires sinistres sur ce qui arrives aux gens que l'inquisition attrape...

Il eut un fremissement, venant de ses mauvais souvenirs.

Gérard choisit ce moment pour intervenir.

"Votre Lice m'a tout l'air d'une professionnelle de l'assassinat. Ces gens là on souvent plusieurs points de chute en ombre. Peut être que cet atout représentait l'endroit où elle se fournissait en armes.
Vous m'avez dit que c'était une spécialiste des armes de tir.

Est ce que ça pourrait coller avec ce que vous savez de cet endroit ?" demande t-il à Nero.

Bien sur que cet endroit était un endroit parfait pour qu'un expert se fournisse en armes. Lui meme et, à sa connaissance, certains de ses collegues s'étaient fournis là bas. Par contre, il n'était pas entierement sur de quelle facon il allait exposer sa réponce à Gérard. Ce qu'il vallait mieux, c'était exposer les connaissances générale que le quidam moyen avait.

Bien que les lois sur la fabrication et la possession d'armes varient d'un endroit à l'autre. La méthode commune est que seules les autorités et des individus achetant des permis spéciaux à prix d'or peuvent se fournir en armes. Elles sont généralement produites industriellement mais bon, y'a toujours des "forgerons modernes" de réputation qui font sur commande. Si votre Lice a les moyens et les contacts nécessaires, ca ne serait pas illogique comme conclusion.

Les moyens et les contacts...certainement, en tout cas elle les avaient!! Aujourd'hui elle mange les pissenlits par la racine!

Bien, je vous remercie de ces quelques précisions je pense y faire un tour prochainement.

le serviteur revint avec le sac de victuailles.
Merci mon ami.

Valentino rangea le tout dans son sac, Nero put y apercevoir tout un arsenal.

Valentino lui sourit.

Je pense compléter tout ça en faisant un tour par chez vous, elle m'a l'air bien cette petite boutique.