Une visite rapide.

Bertholem entre dans la cité d’Ambre

*Le soleil ce couche et j’ai toujours aucune trace d’Alvor, je sais même pas à quel endroit je suis censé allé*

Bertholem passe devant une boucherie

*Je mangerai bien un morceau*

Bertholem fouille méthodiquement sa poche.

*Mais j’ai pas un rond*


Les passants le regardent bizarrement mais il en a cure, il a trop faim pour s’en apercevoir.
Deux gardes royaux s’approchent de lui.
-Que faite vous ici ?

Le deuxième garde prit parole.
-Et pourquoi cette épée ?

Bertholem grinça des dents mais il retint sa colère, en grande parti à cause de la journée qui la éreinté mais aussi a cause de la fatigue et la faim que le tenaille.

-Je viens du chemin du Kolvir et j’ai été attaqué par des voleurs si je ne portai pas cette épée je serai mort à l’heure qu’il est.

Les gardes ce jetèrent des regards sceptiques, le premier garde s’adressa à Bertholem.
:-On vous laisse passé mais on vous tien a l’œil.

Le second dit à l’autre garde à voix basse mais Bertholem pu entendre ses paroles.
-Sa devient de plus en plus fréquents ces attaque si cela arrive au oreilles de notre souverain…

Bertholem continua a errée dans les rue jusqu'au moment où Alvor le prenne et le mette dans une sombre ruelle, Bertholem reconnais à peine la silhouette devant lui.

-Alvor ?
-Qui d’autre pardi.

-Mais où tu étais passé ?

Alvor tendit des habits vers Bertholem.
-Je suis allée chercher des habits car les tienne son… Disons qu’avec elles tu te fais trop remarqué.

Bertholem examine les habits.
-Cest vrai que les mienne son en piteux état à cause de l'explosion et apparemment c’est le même modèle que le mien, merci mais, dit moi, avec qu’elle argent tu as acheté ces habits ?

-Tu te souviens de l’objet que j’ai prit du voleur…

Alvor sorti une bourse et la donna à Bertholem.
-C’était donc sa…

-J’ai prit connaissances de pas mal d’info.

-Continue.

-Les voleurs qui nous on attaqué font parti d’une guilde qui envoie un peu partout leurs escouade, les homme qu’on a battu on du rejoindre leurs chef cela fera de toi et de moi leurs ennemi numéro un. Ils on fait leurs QG à Rebma je te propose, d’y allé et de réglé cette affaire au plus vite parce que si tu les ignore, ils te persécuteront jusqu'à ta mort. Que décide tu ?

Bertholem devint tout a coup soucieux
-Je ne vivrai jamais comme une bête traqué allons réglé leurs problème, mais avant trouvons une auberge je suis exténué par cette journée.

-Vas y tout seul les gens ne son pas trop habitué a mon apparence. On ce retrouve à la sorti d’Ambre.

Bertholem n’en aucun problème pour trouvé une auberge nommé « l’auberge aux pélérin fatigué » , il entra dans l’auberge paya l’aubergiste avec l’argent donné par Alvor et alla dans la chambre qui lui a été attribué. Il s’affala sur le lit et s’endors avant même que sa tête touche le lit.

Lorsque tu te réveille, le soleil est déjà levé, l'auberge semble calme.

Que fais tu ?

Bertholem voit Alvor perché sous sa forme de faucon au bout de son lit.
-Que va ton faire maintenant ?

Alvor ce tourne vers lui.
-Il faudrait qu’on ce trouve une monture.

Bertholem prend sa bourse et vérifie combien il lui reste.
-Je pense qu’on à assez, dit moi c’est loin d’ici Rebma ?

-Ben c’est à dire que… Je ne sait pas la direction exacte de Rebma encore moins si c’est loin.

Bertholem saisit un fruit sur la table qui ressemblai à peu près à une pomme et il croqua dedans.
-C’est pas gagné… On devra trouvé quelqu’un qui puisse nous guidé mais qui ?

-Nous connaissons personne ici, sa va pas être facile de trouvé un guide.

Alvor monta sur son épaule et ils sortirent de l’auberge.

Vous vous retrouvez tous deux au beau milieu de l'animation des rues d'Ambre.

Le quartier où Bertholem a déniché l'auberge semble plutôt mal famé... et grouille comme une fourmillière.

Vous croisez des vendeurs qui vous hurlent leur boniment aux oreilles, des passants malpolis qui vous bousculent à moitié, des filles terriblement aguicheuses dont vous pressentez sans trop de peine le métier, des gamins sales et dépenaillés courant ça et là en piaillant... et bien évidemment, un nombre impressionnant de mendiants qui vous assaillent à coup de "Monseigneur !" dans l'espoir de récupérer une petite pièce.

Bertholem, tu sens soudain que l'on secoue ton vêtement avec insistance.
Tu te retourne et tu vois une sorte de gamin (ou bien est ce une gamine ? Tu n'arrives même pas à en être sûr) tout maigrelet, avec des cheveux blonds longs et emmêlés en demi dreadlocks crasseuses qui lui cachent les yeux, des ongles noirs de chez noirs et des habits trop grands usés jusqu'à la corde.

Le gamin effectue une révérence exagérée.
"A votre service Monseigneur !
Vous cherchez une auberge ? Une brasserie ? Un bordel ? Ou bien tout simplement votre chemin ?
Tout ce que vous recherchez, je peux vous le trouver, Monseigneur ! Vous ne serez pas déçu !"

Alvor murmure à l’oreille de Bertholem de sorte qu’il soit le seul à l’entendre.
-J’ai à te parlé.

Bertholem acquiesce.
-Attends moi ici gamin, je reviens.

Bertholem s’éloigne du gamin
-Tu est sur qu’on puisse lui faire confiance ?
-Tu rigoles? C’est l’occasion rêvé et puis… On n’a pas vraiment le choix.

Alvor resta silencieux.

-Tu marque un point mais ouvrons l’œil, mieux vaut être trop prudent qu’insouciant.

Bertholem ce tourne vers le gamin.
-Dit moi petit, tu connais la route qui mène a Rebma ?

Le gamin se fend d'un large sourire, où tu compte quelques dents manquantes.

"Evidemment ! Bien sûr ! Sans aucun problème !
Rebma ?
C'est la porte à côté, Monseigneur ! On peut y être avant ce soir si on part maintenant."

Le gosse se rengorge, l'air vexé.

"Mmf ! Chuis une fille !"

Puis elle se met en marche, boudeuse, sans répondre à ta question, s'attendant de toute évidence à ce que tu lui emboîte le pas.

Alvor regarde Bertholem d’un air amusé.
-J’ai oublié de t’inculqué la galanterie apparemment…

Bertholem hausse les épaules et suit la jeune fille d’un air gênée.
*Comment aurai je pu deviné…*

Vous quittez la ville et cheminez dans la campagne environnante un petit moment.
La nature est agréable et le temps clément.

Vous croisez de nombreuses personnes, à pied ou à cheval, dans les deux sens.

Puis, la gamine te fait bifurquer à plusieurs carrefours.
Vous finissez par vous retrouver sur un petit sentier désert, en pleine forêt.

Bertholem utilise cest main en visière et ce penche en avant.

-Encore du vert, toujours du vert a perte de vue…
-C’est vrai que tu a grandi dans une forêt mais tu n’a pas vraiment le choix alors arrête de faire le difficile et continuons notre chemin

Betholem fit un geste d’impuissance mais ne rajouta rien. Ils suivent le sentier derrière la jeune fille, qui avançai à toute allure.

-Elle est plutôt agile pour une fille de son age…
-Tu recommence avec ta paranoïa.
Ce fut au tour d’Alvor de ce taire mais il rajouta ceci :

-Je ne suis pas parano, je suis juste prudent j’aimerai ne pas avoir le coup tranché pendant mon sommeil.

Bertholem hésite un instant et décide enfin à tendre son épée à la jeune fille. Alvor lui lance un regard désapprobateur.
-Tu vois bien Alvor que tu est trop parano mon pauvre vieux.
Le visage d’oiseau d’Alvor devint soudain dur.
-Ecoute moi jeune inconscient, réfléchi longtemps avant de m’insulte de la sorte car nul n’est sorti indemne après m’avoir insulté….
Bertholem ce mit à rire à gorge déployé.
-Tu va me collé une fessé c’est ça ?
-Une bonne correction s’impose…
La jeune fille était trop occupé à examiné l’épée de Bertholem pour faire attention à eux.
-Bon, c’est ni l’endroit ni le moment, continuons.
Bertholem soupire, il profite pour retiré discrètement son gant.
-Je suis d’accord. « De toute façon mon épée n’est pas à porté »
Bertholem ce tourne vers la jeune fille.
-Tu peut me rendre mon épée ?