Les cachots

Suite de ce sujet.

Tu te réveil dans une pièce sombre et humide et très vite tu comprends que tu te trouves en très mauvaise posture. A toi de jouer. Wink

Pacosme se réveille, acoutume ses yeux au noir, trouve son chapeau, l'époussette sur sa manche et le met sur sa tête
"Pxxxain, un Armani tout neuf!"

Il attrape une cigarette et palpe ses poches.

"mxxde"

Il remonte son col et arpente sa nouvelle cellule d'une démarche étudiée.
`ils sont vraiment forts ici, quand je pense que sur terre je pouvais ridiculiser n'importe quel garde avec une seule main et que mon chien peut tuer un ours... ` Suspect

après avoir testé ses pouvoirs en vain,il fit l'inventaire de ses poches:
-des lucky-strike
-un trombone
-des chewing-gums
-des pépites d'or (c'est fou le nombre d'endroit où les ombriens raffolent de ce qui brille)

L'idée surgit d'elle même. Il mâcha tous les chewing-gums en triturant le trombone, puis il colla la boule gluante sur le paquet et y planta le trombone. Puis il regarda la serrure, sa clef, la serrure et il jeta violemment sa clef contre le mur en hurlant

"Si je sors de cette geole, je décampe le plus loin possible de ce château de tyran."

2heures passent avant qu'il entende un grattement à la porte.

"Sphinx?"
"Qui d'autre?"
"comment es tu arrivé jusqu'ici?"
"m'est il déjà arrivé de faire des roulades pour attraper un bâton?"
"et personne ne t'as attrapé?"
"n'ont ils pas déjà beaucoup de chance de pouvoir me suivre des yeux?"
"Il est vrai que tu es rapide. Bon, ben rend-toi utile, va me chercher des allumettes, et si tu trouve les clefs au passage, rammene les aussi"
à suivre

Pacosme avait attendu le retour de Sphinx, la cigarette à la bouche, en réfléchissant aux alternatives qu'il lui restaient puis il opta pour celle la plus logique pour quelqu'un qui ignore tout d'ambre:
"Je veux parler à mon avocat"

[Entré Le Palais/entrevue royale/Les cachots]

Après avoir tourné une énième fois fois, et manquait de se perdre dans les corridors lugubres des oubliettes du palais d'Ambre, Matthias parvient enfin à la cellule de l'impétrant, pas gardé évidemment, cela reviendrait à faire preuve d'un minimum de compétences, trop e ndemander à des gardes qui évitaient le secteur comme la peste et le choléras réunis.

"Bon, grommele t'il, ou sont passer ses bon dieu de clef."

Quelques jurons plus tard que les lois en cour sur ce forum m'empêche de développer à loisir, Matthias tombe enfin sur la clef de la cellule, il dévérouille la porte, l'air profondément ennuyé, il venait de râter une manifestation mondaire pour une cloche et son clebs, pensant que c'était des espions de Jurt. Par précaution il tire so népée et la pose sur son épaule

"En théorie tu es libres. Sauf que le proprio de la bicoque va sûrement vouloir te poser quelques questions quand à ta présence en ces lieux. Gentil le toutou... Il a mangé !"

"Je te demanderai donc au meilleur ami de l'homme de bie nvouloir profitter de l'hospitalité de la demeure de la famille d'Ambre."

Il regarde autour de lui, murs gris, pas beaucoup de lumière, sauf sa lanterne, effectivement comme entré en matière c'était plutôt décevant, mais pas plus qu'une des ruelles de la Frange Baudelard, dans son monde d'origine, le sombre et l'inconfort ne rivaliseraient jamais avec le glauque et le pathétique de certaines parcelles de sa ville natale : Pôle.

"T'es pas trop mal logé finallement. Si t'as besoin de quelque chose... Tiens voilà déjà ça."

Il tend une écuelle pleine de travers de porc à la sauce aigre douce et un broc d'eau. Comme pour s'excuser :

"C'est tout ce qu'il avait en cuisine."

Il tire un tabouret, le tend au bonhomme face à lui et à son canidé.

"Si on faisait un brin de causette toi et moi."

Restant dans l'encadrement de la porte.

Pacosme grimaçe, aveuglé par la lumière.

"Vous faites comme terminator: frappe d'abord parle après?"

Pacosme se gratte la barbe naissante et demande
"Qu'est ce que vous voulez que je vous dises, Vous avez du feu?"

"Terminator ? J'ai pas l'honneur de le connaître. Un de vos amis ?"

Il tire de sa poche, une boîte d'allumette portant la mention the Nasty club, il l'avait prise alors qu'elle traînait sur le bureau d'un dénommé Bill Roth. Il lui expédie par voie aérienne le colis.

"Vous allez fumer ces machins qui font de la fumée et irrite les bronches ?"

Pacosme saisit les allumettes et en fit jaillir une flamme.
Tandisque sphinx mangait goulûment dans l'écuelle, Pacosme s'assit, les coudes sur les genoux:
"il y a deux jours je me considérait comme un simple voyageur perdu dans des mondes parallèle. Jusqu'a ce que je rencontre un quidam qui me raconte qu'il y à un monde réel et une infinité d'ombre et qu'un certain Jurt se prend pour l'antéchrist. Alors je l'ai suivis jusqu'ici pour constater par moi même.
Mais laissez moi vous dire que je ne risque pas de mettre beaucoup d'étoiles à mon guide pour ce château: Je me suis fais agressé par une grosse femme et mes briquets ne fonctionnent plus. Quand au logement..."
Il leva la main pour montrer la paillasse.

"j'ai connu mieux"

"Et vous vous me voulez quoi?"

"Je suis en quelque sorte le majordome de cette partie du classieux palace dans lequel vous séjournez actuellement. Pour commencer la musique de votre nom serait assez plaisante à mes oreilles, suivi d'un petit aria sur comment vous êtes parvenu jusqu'ici, sachant que le port est gardé, ainsi que le col du Kolvir et ne parlons pas de la forêt d'Arden. Donc les voies naturelles du royaume d'Ambre, centre de ce que nous nommons les ombres, les mondes semi rêvés ou semi réels par rapport à la tangibilité de ce morceau de rocher sur lequel reposaient et repose votre croupion."

La voix de Matthias trésaille à l'évocation de Jurt

"Voilà pour mes désiderata... Comment avez vous appris pour Jurt et ou ? Surtout ou ? "

Pacosme se renfrogna, il avait sa réponse, l'homme au language fleurit qui se tenait devant lui était là pour le cuisiner. Il regarda Sphynx qui se rapprochait de Mathias pour renifler son pantalon en remuant la queue,
puis il releva le menton vers le regard inquisiteur de Mathias.

"pffff! Je ne pipe rien à votre histoire. Je m'appelle Pacosme et je suis innocent de tout crime que j'ai pu commettre"
Il fit une pause et toussota d'un air géné pendant que , dans le couloir, on entendait de nombreuses voix:
"moi aussi, je suis innocent"
"moi aussi"
"je suis un prince d'ambre laissez moi sortir ou je vous maudits tous"
"je peux avoir du sel dans ma soupe?"

Le calme repris après que Mathias eut crié

"Bon heu pour mon entrée, je suis passé par une forêt avec le gars que j'avais rencontré . Si vos gardes préfèrent courir la gueuse que de surveiller les routes, c'est à eux d'être ici pas à moi. Et pour votre jurt, ca n'a pas l'air d'un secrêt d'état. c'est une des première choses que m'a conté le gars que j'ai rencontré

Matthias quitte l'embrasure de la porte, pour céder le passage à l'homme au haut de forme et son toutou.

Au passage il lui tend une main fraternelle ou cousinale c'est selon...

"Je pense que nous sommes cousin, à quel degrés je l'ignore. Je suis Matthias, j'occupe ici le job peu enviable d'intendant des oubliettes nord, celle ou justement on ommet "les nombreux princes et princesses" injustement accusés de tout et de rien, mais plus sûrement encore la canaille qui occupe les gardes de notre bon Royaume"

Pour prévenir toute question quand au comment et pourquoi il connaissait tout ça :

"Vos digressions en Ombre, vous apparente d'évidence à notre sang. Je pense que vous devriez faire connaissance avec les autres... Ils sont tous réunis c'est une chance pour vous."

Sourire de travers, un brin désabusé

"Enfin ça dépend "

Pacosme fit un clin d'oeil à Shinx, qui était en train de renifler l'épée de Mathias. Le chien se désintéréssa alors des deux hommes et partit en gambadant chercher un os au fond des geôles.

Pacosme se méfiait de Mathias comme d'un junky en manque (combien de fois s'était il retrouvé dans des ombres cyclothymiques.)
Il saisit toutefois l'occasion que lui offrait mathias. Il prit la main de mathias de loin et du bout, des doigts et en alongeant le bras, et la relâcha des que possible.

"Puisque vous ne vous escusez pas, je supose que c'est à moi de vous remercier de votre mansuétude... Heu sinon pour la présentation familiale, je ne suis plus très sûr. Je préfère aller dans un endroit où je ne finirais pas en taule. Même si, je vous l'accorde, tout les geôliers n'ont pas votre classe et votre compréhension Avant que je parte de ce château, vous voudriez bien me dire où récupérer mon arme et où trouver la bibliothèque?"

Un rictus las barre le bas de son visage. Mathias regarde Pacosme sans aménité, sans enthousiasme non plus.

"Vous n'êtes pas exactement en taule, la prison c'est mieux, vous savez au moins quand vous y entrez à quelle date vous en sortirez, dans le cas présent ce sont des oubliettes, c'est fait pour ne jamais en sortir... Du moins en théorie."

"Pour votre arme aucune idée, je peux me renseigner bien sûr, j'espère pour vous qu'une âme bien intentionnée a eu l'idée de la ranger autre part que dans les tripes d'un garde ou d'une sommité quelconque, faute de quoi votre séjour en ces lieux risque de se prolonger. Je vous demande pas comment vous y êtes entrée, chacun à ses petits secrets, par contre à titre indicatif, j'aimerai bien savoir comment vous avez passé l'épreuve de la Marelle, si c'est la première fois que vous foutez les pieds ici ça me paraît quelque peu irréaliste ?"

Coup d'oeil à Pacosme alors qu'il chemine

"Simple curiosité bien sûr Cousin, n'y voyez pas d'offense, mais pour tordre les ombres et voyager au travers, vous devez porter l'empreinte de la Marelle, faut que Mère Grand vous reconnaisse comme un des siens sinon... Tu restes un gentil sédentaire divinisé par le peuple auquel t'a donné consistance et qui erige pour toi des temples, palais et autres babioles dorés flattant ton égo intergalactique."

Il tourne à gauche, puis à droite et est à nouveau perdu. Pacosme se rend compte que le couloir qu'il vienne de prendre, ils l'ont déjà emprunté un quart d'heure avant. Pour lui même l'air pas franchement ravi

"Je pensais avoir une promotion et une mutation, et je me retrouve à nouveau à glander dans les souterrains du Palais. Bon et bien on est perdu. Saleté d'oubliettes même pas foutue d'indiquer un chemin correctement, faut dire que les murs bougent en fonction des aléas de la Marelle Primordiale, quand elle vous a à la bonne, vous faite le trajet en 5 minutes, sinon on peut passer 2 jours à errer dans ses fichus couloirs sans fin... Et vous vous plaigniez d'être ma logé !"

Un bruit de succion incongru se fait entendre derrière une porte... SLURP SCHMASH. Mathias commente, sobre.

"Merde une bestiole..."

La porte est dégondée.

Pacosme serre les poings et se change de posture, ses yeux font des vas-et-viens pour évaluer la tactique à adopter

"j'ai pas le souvenir d'avoir têté un sein, pourtant il semble bien que pour être aussi grand, il a bien fallu que je le fasse non?"

Un tabouret vole en éclat en sur le mur en face de la porte

Exaspéré,il tourne le dos à la porte pour faire face à Mathias, les poings sur les hanches. Ce qui l'empêche de voir la tentacule qui s'approche de lui. Mathias arbore un sourire lorsqu'il écoute Pacosme parler alors que la tentacule fait le tour de sa cheville

"et puis qu'est ce que vous insinuez par irréaliste, c'est vous le spécialiste du réel non?"

La chose dans la cellule éructe et fauche d'un coup Pacosme qui à, malgrès tout le réflex de se retenir à une poutre du couloir.

"j'espère que vous nourrissez tout le monde!"

Mathias sort un petit calepin de sa poche arrière, tandis que d'un revers de sa rapière il sectionne net une tentacule tentant de l'agripper.

Il feuillette rapidement ce dernier, consulte le numéro de la cellule et s'exclame

"Un Chtullu minoris,... Euh on a sauté ses deux derniers repas, enfin pas tout à fait."

Il regarde le crâne soigneusement récurré d'un des gardes en charge de nourrir ce petit monde. Faisant la lecture de son petit opus; sur un ton docte et professoral avec quelque intonation exclamative, découvrant lui même par la même occasion toute les particularités de cette espèce remarquable et si attachante.

"Son dernier repas remonte... à avant hier, et visiblement l'animal est carnivore avec une prédilection pour la viande, la chair humaine. Sa mâchoire est pourvu d'un bec et de ses tentacules exudent un poison lent et insidieux qui paralyse le système nerveux. La victime est d'abord vidée de ses sucs avant d'être rongée par un puissant acide, elle meurt dans d'atroces souffrances... C'est pour ça que la porte a cédée. "

Il commente étonné, en levant la tête pour voir son interlocuteur, Pacosme gigottant au bout des tentacules du chtullu Minoris.

"C'est vraiment une sale bête, Pacosme ! Pacosme vous m'entendez..."

L'épée encore à la main il tranche deux autres excroissances gélatineuses avant de marcher sus à l'animal océanique. Il restait 7 tentacules à l'animal dont une au moins occupée, trois autres arrimaient le calamar des profondeur au sol. La bête occupait la moitié de la vaste cellule et émettait des craquements sinistres. Soudain elle rétracte les trois dernières tentacules encore vivantes, contracte son corps spongieux et crache un puissant jet d'encre noire, une sorte de nuage ténébreux. Les trois extrémités spongieuses foncent dans cette mélasse opaque et gluante. L'animal crie, une des extrémités vient de choir au sol; les deux autres se saisissent sans ménagement de l'ambrien. La situation devenait périlleuse. Matthias se retrouvait lui aussi à jouer les hirondelles

La poutre à laquelle Pacosme se cramponait céda en laissant un morceau dans ses mains .
"Votre précis Zoologique est tout à fait *HUMPF* (mauvaise réception sur les côtes) passionant. Précise t'il son mode de reproduction?"

Le suintement des tentacules commençait à transpercer les habits. Mathias, plus doué à l'épée qu'au corp à cors, était maintenu au plafond par deux tentacules, son bras armé immobilisé. Pacosme, lui, était plaqué contre un mur et la tentacule libre avancait doucement vers son visage. Il planta le morceau de bois de la poutre dans la tentacule qui l'entravait, arrachant un son (entre la sirène d'un paquebot et un gargouilli humide) de la bête infâme .

Matthias ligotté par la tentacule se trouve dans l'impossibilité de bouger, les pseudopodes du kraken libèrent leurs fluides corrosifs comme pour digérer leur proie. Le poulpe géant braque son oeil glauque et jaune sur son dîner. Il en profitte pour tenter une intrusion mentale dans le cortex cervical de l'animal. La lutte s'engage, et l'avatar lovecraftien libère brutalement son emprise, comme si elle venait de subir une décharge électrique. Le dérigion chute de 4 mètres, sa réception laisse un peu à désirer. Il n'a le temps que de se plaquer contre le murs pour récupérer de ses émotions et accesoirement éviter la vindicte de la terreur des océans. Son armure partiellement endommagée, déjà se régénère. Prise entre deux feu, la bête lance ces dernières forces dans la bataille, tentant d'agripper et d'écraser dans un même mouvement désordonné Pacosme et Mathias.

"Je sais pas, et j'avoue ne pas avoir envie d'approfondir la question, Pacosme si vous voulez bien terminons la conversation avec ce Chtullu Minoris et je nous offrirez de quoi nous repaître et boire tout notre saoûl."

Ce dernier puise dans ces dernières ressources et coupe net la tentative avorté du rejetton du Grand Ancien. une autre tentacule frétille, séparée du corps du calamar géant, qui tente de refluer. Mathias, péniblement s'approche de la créature des abysses pour lui porter le coup de grâce. Son épée s'enfonce jusqu'à la garde dans l'oeil vitreux de ce qu'il nommait la bestiole. Je présume que Pacosme aide la démarche en cherchant un morceau de poutre assez acéré pour servir d'épieu et faire une brochette de la créature du Lagon Bleu.

En y repensant Matthias ne pouvait envisagé qu'une solution, cette créature difforme était sans doute une oeuvre du Logrus. en l'envoyant combattre ici, la Marelle Primordiale avait protégée ses entrailles. Le corps de la créature par ailleurs semblait se résorber et à la place d'une masse gélatineuse, se trouvait maintenant le corps d'une jeune femme. Matthias après avoir nettoyé son arme de la souillure du chaos, se dirige vers Pacosme, une certaine gravité dans la voix:

"Les routes au départ d'Ambre sont encore moins sûres que ses oubliettes. Le fameux Jurt dispose de forces armées un peu partout autour d'Ambre et vise la destruction de ce palais et de tout ces habitants, du moins ceux porteurs du sang de la Licorne. A votre place je diffèrererai mon départ Pacosme... Ne serait ce que pour votre propre sécurité."

"Soit, je vais donc rejoindre donc les autres convives pour faire connaissance. Mais je vais faire un rapide saut à la bibliothèque pour me mettre plus au jus des moeurs et coutumes d'Ambre pour éviter de revenir ici... Ce serait un plaisir de marcher à votre côté .Mais si vous préférez faire autre chose, je comprendrais"

Sphinx apparaît au détour d'un couloir avec le fourreau de Pacosme dans la gueule.
"qu'y a t'il au menu ce soir?"demande le chien

"Pâtée de chtonien"
Pacosme se dirige vers l'escalier l'escalier

"Pâté de Chaosien"

Reprend Matthias, sinistre.

"Cheminons ensemble, nous deviserons du peu de connaissance que je possède ne la matière, cela constituera pour vous comme pour moi la base de recherche à faire sur le sujet... Bien que Kernos mais plus ou moins briefé sur la question, je dois reconnaître que je ne maîtrise pas encore tout les arcanes du palais et encore moins les projets de mes pairs et parents. Je sais que tous cependant, excelle dans un domaine, c'est là leurs côté monomaniaque..."

"Pacosme... Pacosme !"

Constatant que l'Ambrien lui avait fait faut bon, Matthias arque un sourcil avant de poursuivre

"?????"

Matthias se rend vers les étages supérieurs, à la salle de réunion